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Trauer um ein kind

Tema en 'La Torre de Babel' comenzado por identidadnodefinida, 1 de Agosto de 2020. Respuestas: 0 | Visitas: 666

  1. identidadnodefinida

    identidadnodefinida Poeta asiduo al portal

    Se incorporó:
    7 de Diciembre de 2013
    Mensajes:
    312
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    156
    Género:
    Hombre
    J'eus toujours l'impression
    de vivre enveloppé
    à l'intérieur d'un être
    jusque là absent me parait-il
    lors de toute mon enfance
    comme si je fus un escargot
    planqué à vie dedans sa coquille.
    Le seul souvenir que je garde
    en rapport mes parents
    ce fût son divorce....
    ça s'est produit
    avant ma naissance.
    Je ne pus jamais arriver à
    comprendre
    comment put triompher
    l'amour
    entre deux êtres
    totalement opposés
    l'un de l'autre
    - ni non plus -
    le motif réel de sa séparation.
    Tout cela me parut
    étant enfant
    un mystère
    que jamais
    je parvins
    élucider.
    Il s'avéra une liasion
    dangereuse à tous les coups.
    Ma mère voulût
    le divorce à tout prix;
    Au fil du temps, je fus devenu
    d'une certaine manière ou autre
    en un narrateur
    au sein de ma famille
    car - si mes souvenirs
    sont bons - je possède hélas
    la capacité monstrueuse
    de me souvenir
    d'une façon
    terriblement presque
    photographique de tout
    ce qui se passa dans ma vie:
    la playlist de
    chanteuses arabes
    classiques
    que j'ecoutai dans la voiture
    de mon père,
    le prénom des mes
    enseignants
    du lycée...
    et aussi
    ma toute premiere
    pulsion sexuelle
    ¡ ah oui !
    Je crois que j'avais neuf
    ou douze ans.
    Je sentis soudain un désir
    incontrôlable....
    envers ma tante;
    je m'agenouillai
    de façon discrète
    sous la table de salon
    chez ma mère et
    dans un acte de
    frénésie sexuelle
    je lui léchai ses pieds.
    En revanche
    ma mère avait pour
    habitude
    maudire inlassablement à mon père
    lorsqu'elle était ivre de colère
    contre tout le monde.
    Elle pouvait l'en vouloir à
    mort et ou l'aimer tout à coup.
    Ses mots furent parfois
    des flèches
    enflammées;
    parmi les pires de malheurs
    qu'elle put proférer
    à mon père
    de son plus profond cœur
    ce fut qu'il aurait eut
    un accident de voiture
    voire la mort en exclamant
    aux bras ouverts
    " Ya Rabi ".
    Lors des discussions
    sulfureuses que l'on eurent
    souvent mitiga sa colère
    pathologique
    en me prenant par le cou...
    d'autres fois à l'aide
    d'une ceinture...ou tout objet
    se retrouvant à sa portée
    lorsqu'elle
    était hors d'elle
    - non pas parce
    qu'elle avait
    véritablement l'intention de
    reduire ma personne
    à néant -
    mais plutôt
    parce que
    je décelai plus tard
    qu'elle portait un fardeau
    car derrière ses pulsions
    agressives reportées
    sur ma personne se cacha
    une haine refoulée
    à l'égard de mon père.
    Je déplore
    aujourd'hui
    que derrière
    sa personnalité sulfureuse
    il y eut une femme malheureuse
    éprouvant un mépris viscéral
    vis à vis de homes
    dû à mon avis au colonialisme
    et ses dommages irréversibles
    dans le psychisme
    des enfants qui furent
    malheureusement malmenés
    par des parents endeuillés
    en raisons de la soudaine arrivée
    d'un troupeau des mégalomanes
    en quête d'élargir ses colonies
    soit disant
    les maîtres
    du savoir-vivre.
    En somme
    son quartier
    réputé comme l'un de
    plus résistants
    à la pris d'assaut de colons
    perdit une de ses enfantes
    à l'heure présent.


     
    #1
    Última modificación: 10 de Septiembre de 2020

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