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Brièvetés

Tema en 'La Torre de Babel' comenzado por Noe Guzman, 29 de Mayo de 2006. Respuestas: 0 | Visitas: 1057

  1. Noe Guzman

    Noe Guzman Poeta asiduo al portal

    Se incorporó:
    1 de Diciembre de 2005
    Mensajes:
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    I
    C’est ton monde,
    Toi et ton feu
    Ta passion, ton abandon ;
    La manière de convaincre
    Mes nuits paralysées,
    Les tendres câlins,
    Tes baisers, ta magie,
    Tout ce qui m'intrigue
    Tu es tout,
    Femme de feu.

    II
    Je t'aime dans ma folie
    Plat et perspicace roucoulement de pluie
    Endormie et submergée d’eau bénie,
    Amour du siècle, amour tout bon
    En toi je voyage sans chercher de réconfort.

    III
    La politique de ton amour
    Diffère, s’amorphe
    Avec les tentations
    Et les perversions
    Du Glamour de ta vanité.

    IV
    Ce n’est ni le fait que j’écrive,
    Ni le fait que tu lises
    C’est le goût de ma vie
    Savoir que tu es d’un autre.

    V
    Couvre-moi ma chérie !
    Arrache la douleur endormie
    Verse ton amour dans le mien,
    Adoucis mon âme et achève-moi.

    VI
    Menotte-moi finement,
    Caresse-moi avec ta peau ;
    Couche avec moi
    Dénature mon chemin,
    Jusqu’à ce que l'ébriété
    Nous tue d'amour.

    VII.
    Je renverse les étoiles avec l'aurore de tes yeux
    J'annihile le paysage de la nuit désolée ;
    Je suis Issu des chevaliers qui aiment sans soumission,
    Entoure-moi des flammes pour détruire mes pupilles.

    VIII.
    Je n'ai ni la photo de tes lèvres rouges,
    Ni celle de ton tendre rire
    Ni de ton amour expérimenté.
    Envoie-moi une photo douce enfant
    Et je l'encadrerai avec mon destin
    Je saurai veiller sur elle ma chérie.

    IX
    J’ai rencontré un tourbillon de passion en m’endormant
    Disposé à rêver et à clouer le regard dans ce christ
    J'ai supposé que tu venais d’entrer dans labyrinthe de la nuit
    Quand pris de réconfort je me soule d'hier.
    Oh ! Femme je ne te vois pas, mais je te sens ;
    Aime-moi sans crainte avec la paix des amours naissants ;
    Digère mon poison, que le torrent dans ta poitrine s'arrête;
    Oh femme, femme brûle-moi jusqu'à me perdre en toi.

    X
    Un jour je poserai et je chanterai
    Tu aimeras effacer les parchemins,
    Tu verseras de l'amour sur le ciel
    En retournant au nid ;
    Réveille-moi quand nous arriverons
    Ce sera mon tour de voir la lumière
    Et la couleur de tes soupirs.


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    #1

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