chaque fois...

Chaque fois que je decrouve ton regard, c'est comment l'afluence, c'est comment la présence d'un aube.

Et tu te trouves dans occasions si absent, si inexact comment depourvu d'une portion d'air pour respirer, et de manière simple mes yeux se perdent dans ta recherche et les regards se montrent éternelles, sans se trouver encore...

Seuls... nous sommes placés toujours par l'impression d'emporter plus qu'un pensée. m'inquiète ne te voir pas dans les jours, que tu ne tentes pas te cacher; seulement d'être, mon chemin, une recontre ou mon propre destin, mon hasard...

Je sens des mélanges de sentiments se cherchent dans mon intérieure, elles sont en train de vouloir sortir et exploiter dans l'extérieure à travers d'un regard ou un bisou...
Peut-être je me parais à Marquez, en train d'exprimer la mélancolie de son affection, mais la differénce est je sais qui ne peux pas en train d'avoir beaucoup des choses pour atteindre et lui, en avant moins que moi, il est obtenu bien plus.

Alors... c'est son espoir et ma crainte ( mon peur) ou c'est son temps et mon sort, je continuerai jusqu'à ce que avec véhémence s'augmente ma patience...