Je batte mes ailles

Je batte mes ailles
pour me tenir debout,
les jambes son mon soutien,
mais pour rêver
les ailes son tout.

Je ne pas besoin que d’air
et, en regardant en face,
si je ne peux pas voler
je plane.

Je suis une machine volante,
si quelqu’un veut m’accompagner
je l’attends.

 

Tu veux battre tes ailes, mais les jambes te tiennent alors seulement projettes, sais que les ailes sont nécessaires pour voler, pour rêver… ¡Volons ensemble ami vers le bord où les rêves sont faits réalité!

¡Felicitaciones por tus bellas letras amigo!

¡Besos y estrellas a tus letras poeta!:::banana:::

 

[FONT=&quot]Ma chère amie, comme je suis content de te revoir !
[FONT=&quot]Merci bien pour ta compagnie et pour ton commentaire, qui me fait toujours plaisir et qui accompagne mes vols.
[FONT=&quot]Je ne savais pas de t’adresse en français.
[FONT=&quot]Baisers pour toi et á tout á l’heure.

 

Este poema denota mucha fuerza creativa,dejas volar tu cuerpo de la misma forma que vuela tu imaginación,
y con respecto a tu última estrofa...,compruebo gratamente,que hay mucha gente que diariamente te acompaña en tu vuelo,"señor máquina voladora",va a ser que nos gusta el vuelo...poético de tu pluma.
Un beso y enhorabuena por tan lindo tema.

 

[FONT=&quot]Marina; aquí la “máquina voladora” que anuncia que el próximo vuelo está a punto de despegar… recoge lo justo que nos vamos.
[FONT=&quot]Eres un encanto… ([FONT=&quot]uy que me van a oír[FONT=&quot]).
[FONT=&quot]Besos y agradecimientos.