Pas une autre

Le désert a emporté les cris;
la douleur s'est transformée en sable
de laquelle ont poussé des épines
pour rendre compte de ce que tous savent
-mais que personne ne sait-

La captivité est restée en arrière
mais seulement l’âme est libre enfin
il n’ya plus de jours
qui égal étaient des nuits

Ni de larmes qui plutôt
sont morceaux du sel
arrachées à force de poignets écrasées,
de jambes ouvertes,
de ventres envahis,
de mamelons déchirés…

L'asphyxie des corps
dans ce coin d’enfer
n’est pas poétique;
mais on allégue impuissance
et les regards sont limités
seulement à compter

-Une là… une autre là-bas…

Depuis à l'intérieur
les âmes qui restent vivantes
ils unissent leurs voix dans une chant plaintif
qui devient un plainte sourde.

Pauvres âmes qui ne se rendent pas compte
que ses mots se transforment en vent
qui retourne au désert
où même une croix rose n’est pas capable
de mettre le point final,
pendant que les cris de leurs mortes
sont fondus avec lequel
aujourd'hui sort de ses gorges.

Maudite soit la gràce!
Puisque l'indifférence est sable
qui essaye d'étouffer les volontés,
mais ils refusent de se taire
et leur voix finalment casse la roche
de l’inconscience
avec un cris different et puissant
qui exige

Pas une autre!




8 mars, Dieu veuille, desormais il n'y aura que bonheur pour toi, la femme du monde

 

...Maudite soit la gràce!
Puisque l'indifférence est sable
qui essaye d'étouffer les volontés,
mais ils refusent de se taire
et leur voix finalment casse la roche
de l’inconscience
avec un cris different et puissant
qui exige

Pas une autre!
C`est un grand poéme...un grand plaisir de le lire...
Ana

 

Merci Anita et félicitations!