Un monde d'Illusions...

Un monde d'Illusions...


À un passé encore un jour et une tentative me convaincre
que je pourrai continuer d'exister sans déjà savoir de toi,
mais dans une fois m'éloigner me fait mal
et nouvellement dans ma solitude me perdre
dans ma cruelle réalité, acceptando qui a été beau qu'avec toi un vivi.e..

Mais maintenant que la vie m'aux gradins un nouveau piège
il me reste seulement à pleurer ton absence et à penser que c'était seulement une belle étape.
Voir comme ce sentiment je noie entre des larmes et un verre de vin
souriant en face de tous les gens en bataillant en silence avec mon enfer
quand ironiquement mon âme se congèle comme une nuit d'hiver
par ce qu'a pu avoir été ce l'amour divin...

Non plus de magie que découvrir, non plus de veillées
puisque aujourd'hui j'ai eu que mon monde perdre
et comme tu ne vas jamais connaître réellement
devant toi je serai peut-être une vision qui a passé d'un sang glacé...


D'un être magique je suis tombé amoureux, je rassasie d'une grande tendresse,
fringant, simple celui qui me parlait à une douceur
cependant je ne peux déjà pas faire,
donc bien qu'il le sache pas, je suis né pour perdre...

La balance cette trop inclinée
et par cela je gagne ma colombe aimée.
Tu ne sauras jamais combien de désirez ce baiser et dans ta peau avec toi faire jour
mais la vie ne me le permet pas et par le même aujourd'hui j'ai à te perdre...



Peut-être si est de ma part une lâcheté
bien que séduis-moi des messieurs, c'était ma grande audace.
Pourquoi essaie-je de me tromper seulement ?
Si une repentie je suis pour ne pas me permettre d'aimer
par ce Prince Merveilleux des poésies,
celui qui a transpercé un fond dans cela mon triste monde d'illusions...



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Mon Français n'est pas le meilleur mais j'ai entendu ton poème j'espère que ce n'est pas ta réalité et si je marche laisse l'aller par que la femme divine de la manière dans laquelle tu écris tu es merveilleuse et certaines comme tu il y a dans ce monde d'incompréhension, un baiser plein d'étoiles

 

Merci de laisser si belle et une trace marquée entre mes lettres humbles...

Depuis la distance, ton amie...